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Émile Despax, étudiant à Bordeaux, poête, cousin de l'écrivain Pierre Benoit, successivement secrétaire d'un ministre des Colonies, chef de cabinet du gouverneur d'Indochine, sous-préfet d'Oloron-Sainte-Marie. | Émile Despax, étudiant à Bordeaux, poête, cousin de l'écrivain Pierre Benoit, successivement secrétaire d'un ministre des Colonies, chef de cabinet du gouverneur d'Indochine, sous-préfet d'Oloron-Sainte-Marie. | ||
− | Sous-lieutenant au 249{{e}} Régiment d'Infanterie, il meurt au combat en 1915, à 33 ans, tué d'une balle en pleine tête le jour de son arrivée aux tranchées alors qu'il observait l'ennemi à la jumelle. Il est inhumé à Verneuil-Courtonne. | + | [[Sous-lieutenant]] au 249{{e}} Régiment d'Infanterie, il meurt au combat en 1915, à 33 ans, tué d'une balle en pleine tête le jour de son arrivée aux tranchées alors qu'il observait l'ennemi à la jumelle. Il est inhumé à Verneuil-Courtonne. |
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Émile Despax, né à Dax, dans les Landes, le 13 septembre 1881, et mort à Moussy-sur-Aisne, la ferme de Metz, le 17 janvier 1915, est un poète français Mort pour la France au cours de la Première Guerre mondiale.
Biographie
Émile Despax, étudiant à Bordeaux, poête, cousin de l'écrivain Pierre Benoit, successivement secrétaire d'un ministre des Colonies, chef de cabinet du gouverneur d'Indochine, sous-préfet d'Oloron-Sainte-Marie.
Sous-lieutenant au 249e Régiment d'Infanterie, il meurt au combat en 1915, à 33 ans, tué d'une balle en pleine tête le jour de son arrivée aux tranchées alors qu'il observait l'ennemi à la jumelle. Il est inhumé à Verneuil-Courtonne.
Hommages
Une avenue porte son nom à Mées (40) où une plaque est apposée sur sa maison ([http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=51603 Relevé n° 51603]) et son nom donné à une école primaire. Une rue porte son nom à Dax (40) et à Oloron-Sainte-Marie (64). Une plaque commémorative se trouve à Moussy-sur-Aisne.
Dans le jardin de la mairie de Dax une stèle commémorative à son nom est installée ([http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=20582 Relevé n° 20582]). Son nom est également inscrit à paris, sur les plaques commémoratives des écrivains morts au champ d'honneur au Panthéon[1] ([http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=50356 Relevé n° 50356]) et sur le monument aux morts d'Oloron-Sainte-Marie ([http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=26426 Relevé n° 26426]).
Œuvres
- Au Seuil de la Lande, Paris, Mercure de France, 1902[2]
- La Maison des Glycines, poèmes, Mercure de France, Paris, 1905[3], réédition 1926[4]
Annexes
Notes et références
- ↑ Quatre panneaux portent le nom de 546 écrivains : les écrivains morts au champ d'honneur (497) et les écrivains morts sous les drapeaux (49)
- ↑ (fr) [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35206038j/PUBLIC Notice bibliographique] sur catalogue.bnf.fr
- ↑ (fr) [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb303342121/PUBLIC Notice bibliographique] sur catalogue.bnf.fr
- ↑ (fr) [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32023424w/PUBLIC Notice bibliographique] sur catalogue.bnf.fr