Eaux du Pré-Saint-Gervais : Différence entre versions

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Avec les [[eaux de Belleville]], les eaux du Pré-Saint-Gervais sont appelées au 19{{e}} siècle par l'ingénieur [[Eugène Belgrand|Belgrand]] les « [[sources du nord]] ».
  
 
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* [[Fontaine Saint-Lazare]] (idem en 1806)
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* [[Fontaine du Chaudron]] (idem en 1806)
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* [[Fontaine des Récollets]] (idem en 1806)
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En 1806 les [[eaux de Belleville]] et les eaux du Pré-Saint-Gervais (la nuance n'est pas faite) alimentent 6 fontaines sur les 58<ref>Dans le décret il est question de 57 fontaines mais il manquait la fontaine de la rue d'Enfer</ref><ref name="dulaure229">[http://books.google.com/books?id=mSACAAAAYAAJ&pg=PA229 Histoire civile, physique et morale de Paris. Par J.- A. Dulaure, Volume 9 Par Jacques-Antoine Dulaure]</ref> existantes et les 15 projetées<ref>[http://books.google.com/books?id=mSACAAAAYAAJ&pg=PA228 Histoire civile, physique et morale de Paris. Par J.- A. Dulaure, Volume 9 Par Jacques-Antoine Dulaure]</ref> :
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* [[Fontaine du Pré-Saint-Gervais]] hors des barrières (eaux du Pré-Saint-Gervais)
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* Fontaine de Sainte-Périne de Chaillot<ref>Il s'agit d'une fontaine qui était située à Sainte-Périne de la Villette, les chanoinesses s'installent en 1743 dans l'abbaye Sainte-Geneviève de Chaillot, rebaptisée alors Sainte-Périne de Chaillot</ref> (eaux du Pré-Saint-Gervais)
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* [[Fontaine du Chaudron]] à l'extrémité du faubourg Saint-Martin (eaux du Pré-Saint-Gervais)
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* [[Fontaine des Récollets]] [[rue du Faubourg Saint-Martin]] (eaux du Pré-Saint-Gervais)
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* [[Fontaine Saint-Lazare]] vis à vis la [[Prison Saint-Lazare|maison de détention]] (eaux du Pré-Saint-Gervais)
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* Fontaine de Saint-Maur rue du chemin Saint-Denis faubourg du Temple (eaux de Belleville)
  
 
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Version actuelle en date du 30 juillet 2015 à 16:25

Les eaux du Pré-Saint-Gervais sont un ensemble d'aménagements hydrauliques, situe sur la commune du Pré-Saint-Gervais et le 19e arrondissement de Paris, permettant de conduire les eaux des sources des collines du Pré-Saint-Gervais vers Paris.

Les sources du Pré-Saint-Gervais sont canalisées à partir du XIIe siècle par la maison Saint-Lazare, propriétaire des terrains.

Avec les eaux de Belleville, les eaux du Pré-Saint-Gervais sont appelées au 19e siècle par l'ingénieur Belgrand les « sources du nord ».

Regards

Les réseaux sont jalonnés de regards, certains sont encore visibles :

Ces quatre regards sont classés au titre des monuments historiques en 1899[1] [2] [3] [4].

La rue des Marchais, dans le 19e arrondissement, tiendrait son nom d'un regard des eaux du Pré-Saint-Gervais.

Fontaines

Vers 1735 et 1737, avant 1806 :

En 1806 les eaux de Belleville et les eaux du Pré-Saint-Gervais (la nuance n'est pas faite) alimentent 6 fontaines sur les 58[5][6] existantes et les 15 projetées[7] :

Annexes

Voir aussi


Liens

Notes et références

  1. [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00079947 Trou Morin, fiche sur la base base Mérimée, ministère de la Culture]
  2. [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00086776 Maussins, fiche sur la base base Mérimée, ministère de la Culture]
  3. [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00086772 Bernage, fiche sur la base base Mérimée, ministère de la Culture]
  4. [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=PA00079946 fontaine du Pré-Saint-Gervais, fiche sur la base base Mérimée, ministère de la Culture]
  5. Dans le décret il est question de 57 fontaines mais il manquait la fontaine de la rue d'Enfer
  6. [http://books.google.com/books?id=mSACAAAAYAAJ&pg=PA229 Histoire civile, physique et morale de Paris. Par J.- A. Dulaure, Volume 9 Par Jacques-Antoine Dulaure]
  7. [http://books.google.com/books?id=mSACAAAAYAAJ&pg=PA228 Histoire civile, physique et morale de Paris. Par J.- A. Dulaure, Volume 9 Par Jacques-Antoine Dulaure]
  8. Il s'agit d'une fontaine qui était située à Sainte-Périne de la Villette, les chanoinesses s'installent en 1743 dans l'abbaye Sainte-Geneviève de Chaillot, rebaptisée alors Sainte-Périne de Chaillot